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Séries de photographies personnelles.

DUPLI(CITés) mes villes invisibles. 2011 - en cours.

 

Cette série est une recherche sur la sororité qu'il peut exister entre certaines villes. Le travail a donc consisté à mettre en relation deux clichés de deux villes différentes pour inventer une image, donner corps à une ville fantasmée, à la manière des Villes Invisibles d'Italo Calvino, purement inventées mais en même temps au visage si familier. La sororité a ici différentes causes: elle peut être objective (Naples et Marseille ou Bologne et Aix et Provence se ressemblent à de nombreux égards), subjective (Paris et Rome sont deux villes où j'ai vécu), et enfin graphique (deux photographies peuvent s'accorder par leurs compositions, leurs lignes). Ces villes invisibles prennent 3 formes graphiques: les villes rythmées, par une découpe striée permettant une double lecture, les villes mêlées: par photomontages, les deux clichés ne font plus qu'un, les villes côtoyées, les photographies affichent leur lien par juxtaposition.

filtre, nature et urbanité,. 2010 - en cours.

 

Cette série introduit la relation entre végétation et architecture. Les éléments naturels constituent ici un filtre entre le spectateur, objectif et passif, et le sujet principal: l’architecture, l’urbanité. Selon les photographies, ce filtre diffère. Il peut ainsi révéler par son organicité, la souplesse de ses courbes, sa finesse et sa liberté plastique, la dureté des lignes architecturales, l’ordre constructif. Par cette comparaison antagoniste, le premier plan fait vibrer le second plan quand celui-ci magnifie le premier, en le détachant, en se proposant comme fons scenae.

Il peut également, au contraire, accompagner l’architecture en mettant en relation par assimilation, la structure naturelle d’une arborescence, et la structure architecturale. Dans ce cas, le premier plan révèle et renforce le second plan en faisant ressortir sa puissance et son intelligence conceptrice. 

l'homme seul, l'individu et l'échelle,. 2008 - en cours.

 

Ces photographies mettent en scène un individu, seul, face aux éléments, au paysage.  L'être humain, dans son unicité, se trouve mit en rapport avec une échelle autre que la sienne: celle de la rue, de la place, de la ville, du paysage, de l'horizon. 

 

Lignes rivulaires, le fil et l'entre-deux,. 2008 - en cours

Flux, le passage et l'ombre,. 2011 - en cours

 

 

 

LA PLANEITé du lointain, l'horizon et l'ailleurs,. 2008 - en cours

 

 

 

​© 2023 par VIE URBAINE. Créé avec Wix.com

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